Anne-Catherine Becker-Echivard Makes Art Out of Fishes

Habiller les animaux et de les placer dans une variété de situations est pas un concept nouveau. Nous avons vu les chats, les écureuils, les rats et les lapins habillés comme les gens, mais c'est la première fois que nous voyons quelqu'un de placer des têtes décapitées de poissons morts au sommet de figurines de poupée pour créer des scènes miniatures.

Né à Paris, l'artiste Anne-Catherine Becker-Echivard , utilise le poisson frais du marché pour créer ses scènes loufoques. Après elle se fait photographier, elle fait la cuisine et les mange.

"Il est le recyclage parfait de l'art. Il ne reste rien - et je peux en vivre », dit-elle. Pas étonnant, sa famille et les amis pense qu'elle est folle.

Anne-Catherine Becker-Echivard Makes Art Out of Fishes

Anne-Catherine Becker-Echivard construit le premier des accessoires et un ensemble complexe à son appartement à Berlin, en Allemagne, en prenant un maximum de trois mois pour terminer chacun. Lorsque cela est prêt, elle achète son poisson à partir d'un poissonnier local, garde la tête tandis que le reste du corps est passé directement à la cuisine.

Depuis 1997, l'artiste a créé des dizaines de les oeuvres d'art originales, dont certains mesurent jusqu'à 2m de long. Ses scènes dépeint chirurgies, des usines et des interviews télévisées.

De la petite enfance, la petite fille avait aucun intérêt pour les poupées. Au lieu de cela, elle a joué avec des animaux, vivant ou mort. Elle avait des rats qu'elle gardés comme animaux domestiques, en les déguisant avec les vêtements de poupée que sa mère a fait pour elle, et les a emmenés partout. Elle a découvert le monde des poissons pendant son apprentissage de la pêche par le côté de pêcheurs de Normandie. Après cela, elle a commencé à utiliser le poisson pour faire ses poupées.

À propos de son travail, Anne-Catherine Becker-Echivard dit:

Je acheter mon poisson de Halles de Rungis, à la Reynaud ou sur le marché près de chez moi. En arrivant à mon studio, je me lave les poissons, échelle, et éviscérer eux. Puis je garde les têtes, et leur corps, passe à la casserole. Prenez les poissons dans mes usines pour un exemple, ils sont en uniforme. Ils sont asexués et donnent un message global. Ce ne sont ni la condition de la femme, ni la condition des hommes. Voilà l'homme, l'être humain, en général. Les usines représentent un état conforme à l'homme, pour le citoyen commun car il ya tellement de travail dans la chaîne de production, «les temps modernes». La déshumanisation. Nous sommes victimes de notre propre évolution ou de notre propre révolution. Nous sommes les conformistes qui souffrent. Dans ma photographie, je ne cherche pas à présenter le bon ni le mauvais. Il est tout simplement jamais drôle, laborieux, heureux, tendre ou dur. Il est toujours beaucoup plus tragique, la tristesse ou la douleur dans la comédie. Voilà ce qui me touche. Voilà ce que je cherche à traduire.

Anne-Catherine Becker-Echivard Makes Art Out of Fishes

Anne-Catherine Becker-Echivard Makes Art Out of Fishes

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