Il est arrivé. Encore une fois. Urban Outfitters vient de publier un autre article culturellement offensante qui est douloureusement rappelle heures les plus sombres de l'histoire.
Le mégastore hipster vend une tapisserie avec un défaut majeur de tissu: il ressemble fâcheusement semblable à l'habillement des prisonniers homosexuels masculins ont été forcés de porter dans les camps de concentration nazis. Anti-Defamation directeur League et survivant de l'Holocauste, Abraham H. Foxman, a exhorté Urban Outfitters lundi pour supprimer l'élément de leurs magasins et un site web, déclarant , "soit intentionnel ou pas, ce motif rayé gris et blanc et combinaison triangle rose est profondément offensant et ne devraient pas être intégrées dans la culture populaire ".
La tapisserie, vendu pour 69 $ dans le cadre de "l'Assemblée Accueil" la ligne Urban, a suscité une vague d'indignation. Dès ce matin, UO n'a pas répondu à la controverse ou donné aucune explication pour comment une telle chose a pu se produire, en particulier après l'héritage de la marque de largement critiqué, l'imagerie insensible.
Il était seulement Septembre dernier, quand ils ont été forcés de tirer un sweat-shirt "vintage" faux-ensanglanté Kent State, qui rappelle immédiatement le massacre de Kent State dans les années 1970, lorsque quatre étudiants non armés ont été tués par la Garde nationale de l'armée lors d'une manifestation. Les gens étaient (à juste titre) outragé, et ont pris des médias sociaux par la tempête, tandis que Urban Outfitters a affirmé qu '«il n'a jamais été notre intention de faire allusion à des événements tragiques qui ont eu lieu à Kent State en 1970," et qu'ils étaient "extrêmement attristés» par toute l'épreuve . Les marquages de le sweat-shirt, selon UO, était juste une «coloration», mais le produit a été retiré de magasins, en tant que fonctionnaires Kent State fouettés publiquement à la société.
En Avril 2012, l'ADL à Philadelphie a publié une déclaration contre Urban Outfitters pour un T-shirt jaune ils ont offert sur leur site web qui a été, encore une fois, étrangement similaire à une étoile de David patch qui nazis allemands contraints victimes des camps de concentration à l'usure. "Nous trouvons cette utilisation du symbolisme extrêmement désagréable et offensive, et nous sommes scandalisés que votre entreprise ferait ce produit à la disposition de vos clients," a déclaré Barry Morrison , le directeur régional de l'ADL, dans une lettre au président et chef de la direction, Richard Urban Outfitter Hayne. WoodWood, l'entreprise qui a fabriqué la chemise, a déclaré qu'il n'a jamais été destiné à être vendu comme a été photographié sur le site, qu'il était clairement une erreur . Il n'a pas été clair pour la plupart d'entre nous.
L'ADL a contacté Hayne à plusieurs reprises au cours des dernières années, indiquant que la société tend à plusieurs reprises à des «stéréotypes de bande de roulement sur les sentiments et renforcés de divers groupes-chrétiens, les Noirs, et irlandais, mexicaine, et juifs-américains ... la liste est longue sur, "ils ont déclaré en 2012.
La liste, en effet, se poursuit. En 2011, Sasha Houston Brown, un membre de la Nation sioux Santee, a écrit une lettre ouverte à la société exigeant qu'ils cessent et cessent leur «appropriation culturelle raciste et pervers» de l'Amérique indigène, déclarant qu '«il est rien d'honorable ou historiquement apprécié dans vente d'objets, comme les Navajos Tissus Enveloppé Flask, Collier Plume traité de paix, Staring at stars Skull T-shirt Natif Coiffe ou le Navajo Hipster Panty ".
UO a également suscité l'indignation de banaliser, voire glorifier, dépendance. Leurs forme de pilule bouteilles verres et flacons d'ordonnance comme étaient perçus comme faisant la lumière de très graves prescription pilule épidémie-quelque chose des jeunes du pays, une grande partie de de la marque, les consommateurs sont particulièrement à risque de. Le gouverneur du Kentucky-un état connu pour avoir une grande population de résidents aux prises avec la toxicomanie publié une déclaration à l'Associated Press en disant, "il n'y a rien à la mode sur les abus des médicaments prescrits, et la vente d'objets de l'adolescence ciblée qui idéalisent les médicaments d'ordonnance est répugnant."
Troubles de l'alimentation et la maladie mentale ont également été banalisée sur UO T-shirts, incitant jeu sérieux sur les médias sociaux et l'inquiétude généralisée. Actrice Sophia Bush , qui a appelé à un boycott dans un post Facebook, comparé leur manque de jugement de ces produits à "remettre une personne suicidaire un fusil chargé."
La controverse se prolonge au-delà de la boutique à la culture de l'entreprise, qui a récemment été fustigé pour une invitation de fête de Noël fuite perçue, par beaucoup, comme racialement insensibles .
UO est loin d'être le seul détaillant de masse dont le jugement et la sensibilité a été remis en question, mais ils sont certainement l'un des délinquants les plus cohérentes. Avec chaque nouvelle controverse et des excuses suite, il devient plus difficile de croire que ces oublis sont involontaires. Si elles le sont, il est curieux que la société n'a pas appris de leurs erreurs répétées et apporté des changements internes.
UO rassemble certainement une tonne d'attention à chaque infraction, et même si elle ne sait pas si cela se traduit par des ventes, ils ne serait pas la première entreprise à profiter au large du malheur des autres. Mais la chose est, nous voulons plus de l'UO, nous voulons espérer mieux. Il est pas trop tard pour changer les choses. Considérez American Apparel, qui avait récemment une refonte de haut en bas, à son tour, en remplacement de leurs annonces, offensifs souvent controversées avec, une campagne responsable plus positive. Cela semble fonctionner pour tout le monde-.
Si rien d'autre, UO doit cesser de libérer produits intentionnellement ou non-qui sont profondément blessants pour les personnes. Il est aussi simple que.